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L'actu par Time Out Paris

Votre guide de Paris au quotidien : actualité, infos, culture et humour (enfin, on essaye)

Écrit par
La Rédaction
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My Taylor is rich ! Des milliards de streams, des milliards de recettes : la chanteuse américaine bat tous les records avec sa tournée Eras, qui débarque ce mois-ci en Europe en commençant par quatre concerts à la Paris La Défense Arena les 8, 9, 10 et 11 mai. Trois heures de show devant 250 000 Swifties – le nom de ses fans – qui reprendront en chœur les 45 (!) chansons du set, revisitant les différentes périodes d’une carrière qu’elle mène d’une main de fer. Car à 34 ans, l’Américaine n’a peur de personne, et c’est elle qui fait trembler l’industrie de la musique, les hommes politiques, et parfois même le sol ! Voici cinq choses à savoir sur Taylor Swift avant ses shows parisiens ! Elle a un rapport compliqué avec la France Avec son Eras Tour, Taylor Swift s’arrêtera pour quatre soirs à Paris du 9 au 12 mai : l’occasion de se rabibocher avec la France ? Au début de sa carrière, ça semblait plutôt bien parti entre nous, avec un premier concert privé à la Salle Wagram en octobre 2010, puis une date au Zénith en mars 2011 suivie du tournage du clip de « Begin Again » en 2012, dans une ambiance très Emily in Paris avec Taylor qui signe des cartes postales, Taylor qui passe à la boulange ou Taylor qui marche sur le pont des Arts. Et puis plus rien jusqu’en 2019 et un concert à l’Olympia, à part quelques opérations promo foireuses, genre chanter dans C à Vous devant un Gérard Jugnot au bord de l’apoplexie ou devoir apprendre un morceau de Lara Fabian chez Cauet. On comprend qu’el

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Les assiettes marquantes du printemps entre nouveauté éclatante et classique rassurant ! Le raviolo d’Altro Frenchie © Antoine Besse Dans sa nouvelle adresse de la rue du Nil, Greg Marchand propose un restau qui explore brillamment toute l’Italie. Pas de gastronomie intimidante mais des assiettes rassurantes et rassasiantes à l’image de ce raviolo garni de pecorino et partageant son beurre avec des petits pois croquants et des feuilles de menthe. C’est un grand si ! Le riz noir à l’oursin au 19 Saint Roch © Aïtor Alfonso Au programme de l’adresse de Pierre Touitou : une ambiance assagie, une clientèle largement conquise et des bouchées minimalistes, ramassées sur le produit. Si vous arrivez à arracher une place dans ce tourbillon de hype, ne loupez pas le riz noir aux oursins et foie de lotte qui escorte une assiette de lotte-artichauts-tamarin (et lui vole la vedette). Best side story. La sole meunière du Duc © Antoine Besse Cette adresse, qui iode les gourmets parisiens depuis plus de 50 ans, a forgé sa réputation à grand coup de poisson cru. Mais sa sole meunière, classique d’entre les classiques, reste un sommet de simplicité et de fraîcheur. Un poisson pêché dans la nuit, une cuisson millimétrée et un beurre juste citronné. La gastronomie limpide.

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Intégrer le Guinness Book des records dans la catégorie « plus grande couverture de pique-nique du monde » impose deux conditions : une nappe de plus de 2008,23 m² (record détenu par un restaurant de Gstaad) et des pique-niqueurs installés dessus. Pour la première, LG et le comité des Champs-Élysées ont prévu large ce dimanche 26 mai avec un tissu vichy géant déployé sur toute la largeur de l’avenue et allant de la rue Arsène Houssaye à l’avenue George V... soit 4212 m² ! Plus de 3700 déjeuneurs sont attendus afin de valider le pique-nique. Sur chacun des 480 carreaux du tissu, peuvent prendre place 6 personnes avec un panier repas pour deux convives. On annonce baguette, légumes de saison et fruits frais préparés par les restaurants de l’avenue. Et le meilleur ? Tout est entièrement gratuit ! Mais alors comment se poser alangui sur le bitume tel le modèle d'un Renoir postmoderne dans une guinguette urbaine ? Il suffit de s’inscrire sur ce site, d’attendre le résultat du tirage au sort… et de prier pour une météo clémente. Quand ? Dimanche 26 mai à 11h45 ou 13h30 Où ? Champs-ÉlyséesInscription Pour encore plus de bons plans, inscrivez-vous à la newsletter de Time Out Paris.

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Quand soudain au MAM, Matisse breaka ! Au milieu des découvertes thématiques des musées parisiens – qu’on parle de battle de waacking à Orsay ou de visite féministe du Louvre –, le musée d’Art moderne de Paris propose depuis l’an dernier des visites mensuelles couplées à un apprentissage du hip-hop.  Concrètement, pendant une heure, un danseur de hip-hop, le pionnier du genre Karl Libanus par exemple, initie une vingtaine de visiteurs – c’est 10 € – à la danse hip-hop, en musique évidemment. Le plus classe, c’est que ces cours se déroulent en face de certaines des toiles les plus emblématiques – et démesurées – de l’institution, choisies pour leur évocation du corps et du mouvement. Vous pourrez par exemple apprendre les rudiments de la coupole devant le tableau Rythmes de  Delaunay, cette rosace kaléidoscopique à regarder sous buvard ; ou tenter de faire la vague en prenant exemple sur La Danse d’Henri Matisse, figurant un quintet rougeoyant à la limite de la transe. De quoi devenir Bboy arty. Quand ? prochaines visites : dimanche 5 mai et 9 juin, à 14h30.Où ? MAM, 11 avenue du Président-Wilson, Paris 16e.Combien ? de 8 à 10 € (Billetterie ici).

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Lutter contre la précarité alimentaire, promouvoir la place des femmes dans la gastronomie et se régaler pour dîner, tout ça avec vue sur la Seine : voilà ce que propose le festival Cheffes !, qui, pour sa 3e édition, investit la barge le Mazette. Le principe reste inchangé : pour 40 €, vous avez le choix entre deux menus en cinq temps (quatre assiettes salées et une sucrée).  Attention, le choix risque d’être compliqué vu le casting en or des cheffes (bénévoles) aux fourneaux des dix stands. On y retrouve des habituées de l’exercice comme Manon Fleury et Laurène Barjhoux (Datil), Justine Piluso, Chloé Charles (Lago), Bérangère Fagart (Sélune) et quelques toques montantes à l’image de Zelikha Dinga (meilleure designeuse culinaire aux Time Out Food & Drink Awards), Charleyne Valet (le Cyrano), Victoria Mekkoui…  Ernest, l’association organisatrice, va utiliser tous les bénéfices de cet événement pour financer l'aide alimentaire destinée aux plus précaires. Que du bon, on vous dit ! Quand ? Dimanche 19 et lundi 20 mai 2024.Où ? Le Mazette, 69 port de la Râpée, Paris 12e.Combien ? 40 € (Billetterie ici). Pour encore plus de bons plans, inscrivez-vous à la newsletter de Time Out Paris.

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Le milieu du chlore parisien est en ébullition. Après le bassin Pontoise remis à flot en décembre, la piscine Georges-Vallerey a rouvert ses lignes au public le 17 avril après deux ans de rénovation. Et quand on parle de mythe, on n’exagère pas : c’est ici, il y a cent ans, lorsqu’elle s’appelait encore la piscine des Tourelles, que se sont déroulées les épreuves de natation des JO de Paris 1924, marquées par trois ploufs dorés de Johnny “Tarzan” Weissmuller. Un nouveau toit amovible En 2024, Georges-Vallerey accueillera les entraînements des athlètes olympiques à partir du 12 juillet. Mais d’ici là, tout le monde pourra profiter d’un complexe nouvelle génération polishé par le cabinet AIA Life Designers. On y redécouvre le grand bassin de 50 mètres – cerclé de gradins bétonnés rougeoyants – toujours modulable à 37,5 mètres ou en deux fois 25 mètres, avec goulettes rénovées pour, nous dit-on, une meilleure acoustique, et des anneaux olympiques lumineux en déco ! Et surtout, on retrouve une nouvelle version du toit amovible dont l’ancienne charpente de 25 tonnes de bois datant des années 1980 a été en partie utilisée pour usiner la nouvelle signalétique ainsi qu’une partie du mobilier des vestiaires. L’autre caractéristique de cette Vallerey 2k24 concerne son accessibilité, entre un bâtiment – les gradins notamment – aux normes PMR et des aménagements comme ce chenil pour accueillir les chiens guides. Ça sent l’embouteillage dans les couloirs de nage ces prochaines semaines !

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Si vous pensez que Time Out parle trop de l’Est parisien, si voir une casquette Études courir après un Gabin ou une Alma vous hérisse, alors ne lisez surtout pas cet article ! Car le 1er mai s’organise la deuxième édition de Onze à Table (la première date de 2019), le plus grand banquet du 11e installé dans l’œil du cyclone du Paris gentrifié : le square Gardette. Guettez les préinscriptions sur leur Insta, ça va partir vite ! Cette année, l'épicerie Zingam, qui fête une décennie de cabas comblés, invite une quarantaine de producteurs à venir avec leurs bons produits pour alimenter les tablées et dix chef(fe)s aux manettes vont vous lustrer les papilles ! Comme le coin ne laisse pas sa part au chien en matière de bonnes adresses, les restos partenaires font sacrément saliver : le Café du Coin, l’Orillon, Furia, Sandwichette, Lago… Et pour les oreilles, plus hype qu’un DJ, c’est la fanfare Godfingers qui jouera des reprises d’Arcade Fire ou de Daft Punk, en plus d’un bal mené par le jazz band Blue Jitters où agiter ses Gazelle (achetées sur Vinted). Du bien beau travail pour un 1er mai ! Quand ? le 1er mai à partir de midi Où ? square Gardette, Paris 11e.

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Une histoire de dix ans d’âge et un grand roulage de patins pour fêter ça. Au milieu de son abondant programme d’anniversaire, le Carreau du Temple a glissé – après plusieurs précédents concluants – une grande roller dance party, dont la piste se dépliera dans sa halle toute la soirée du samedi 18 mai. De 19h30 à 23h30, sous le haut patinage de Martine Patine, collectif bien connu dans le milieu qui frimera avec des démos en fin de session, les visiteurs seront invités à chausser les patins pour chanceler jusqu’à épuisement, tout ça en musique – historiquement, c’est plutôt de la soul et du funk 70’s mais les orgas envoient aussi des choses d’aujourd’hui.  De manière pratique, l’entrée est libre et vous pouvez ramener votre propre matos si celui-ci convient ou louer des paires contre 5 € par demi-heure. De quoi vous gameller et vous faire des souvenirs pour dix ans. Quand ? samedi 18 mai 2024, de 19h30 à 23h30.Où ? 2 rue Perrée, Paris 3e.Combien ? entrée libre, location de rollers : 5 € la demi-heure. Pour encore plus de bons plans, inscrivez-vous à la newsletter de Time Out Paris.

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Plop ! C’est devenu un rendez-vous attendu du printemps pour les amateurs de vins nature et de bonnes feuilles (de vigne). Alors que mai déboule et que les bourgeons débourrent, le festival Sous les pavés la vigne déploie ses stands à la Bellevilloise. Pour cette 10e  année, la maison d’édition Nouriturfu, qui organise l’affaire, n’a pas mégoté avec 50 vigneronnes et vignerons au programme. Ça balaye large entre nouveautés sous le radar (L'Ether Créatif dans le Jura, Vins Voctor en Ardèche) et domaines bien installés (Les Chais du Port de la Lune à Bordeaux, Ab Initio dans la Loire…) avec des incursions en Italie, au Chili ou en Arménie. A noter que certains stands proposent des  « cuvées Licornes », des bombes à goûter absolument. Car oui, il est possible de tout goûter une fois acquitté le modeste prix d’entrée.  L’autre spécialité du salon en plus des dégustations en flux tendu ? La rencontre avec des autrices et auteurs qui écrivent sur le vin et l’ivresse. Cette année, vous pourrez croiser Marie-Ève Lacasse, Alicia Dorey ou Goulven Le Pollès. A noter aussi, un mystérieux combat de catch-dégustation entre deux cavistes. De quoi revenir avec des souvenirs (et des polyphénols) plein la tête. Quand ? samedi 4, dimanche 5 et lundi 6 mai 2024, de 11h à 19h. Où ? à la Bellevilloise, 19-21 rue Boyer, Paris 20e. Combien ? 10 € avec un verre griffé offert, accès à toutes les dégustations. Pour encore plus de bons plans, inscrivez-vous à la newsletter de Time Out Paris.  

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Marseille ? Surblindé. Ibiza ? Surcoté. Et si cet été, on faisait plutôt un tour dans l’Oise pour les vacances ? Direction Auvers-sur-Oise, un petit bled tellement pittoresque qu’il a fait fureur chez les impressionnistes. Située à 30 kilomètres au nord-ouest de Paris, cette bourgade est devenue célèbre grâce à ses locataires : Vincent van Gogh, Paul Cézanne ou Auguste Renoir y ont joué des pinceaux. Pour s’y rendre, il suffit de sauter dans la ligne H, départ Gare du Nord à 9h38 tapantes. Mis en service l'an dernier, ce tronçon va de nouveau (du 1er mai au 27 octobre 2024) accueillir les amateurs de paysages bucoliques. Parfait pour se faire un p’tit trip d’une journée : attention, un seul retour est prévu et vous fait arriver à 18h15 à Paname, à noter en rouge dans votre agenda au risque de vous transformer en citrouille.L’occasion de plonger IRL dans quelques-uns des tableaux les plus emblématiques du XIXe siècle, en se rendant par exemple à l’église d'Auvers-sur-Oise, reproduite par Van Gogh en 1890, ou en grimpant en haut de la commune pour apercevoir la fameuse Vue d’Auvers peinte par Cézanne en 1874. Que ce soit au sein du magnifique château style Louis XIII qui propose un parcours immersif “Vision impressionniste” ou lors d’une visite au musée de l’Absinthe, le nectar des artistes, c’est avec émerveillement que l’on marche dans les pas de ceux qui ont fait l’histoire de l’art. Petit conseil : prévoyez de bonnes chaussures, Auvers-sur-Oise est sacrément pentue. Et pour

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